Début de mise en page
Composition murale de mon parcours à travers le veganisme
Inspiration du travail de ma présentation de TFE, je compte consrtuire celui ci avec du papier récupéré dans l'école.
Travail écrit par rapport à mon travail graphique durant toute l'année
Exemple de flyers. Akaoni design
Ceci est un exemple de présentation d'exposition qui m'intéresse. Le principe serait d'exposer au mur le déroulement de mes recherches. Ainsi je montre mon processus créatif. (1) Les tontonts racleurs (2) Eser Gündüz
J'essaie d'utiliser une exagération graphique dans mes images.
Bien que je critique les vegans (je me le permet car j'en fait parti, c'est en partie de l'autodérision). Je trouve qu'il y a de la part des gens qui mange encore de la viande et qui ne font aucun effort par rapport à la souffrance animale un jugements. Ils se permettent de juger le style de vie d'un vegan. Souvent j'ai pu entendre des phrases soit gênante soit totalement incohérente par rapport au veganisme.
La vegan police, souvent des personnes qui ne font pas du tout parti du mouvement vegan qui se permettent de juger le style de vie d'un vegan.
Le hippie vegan: Ici j'ai pensé illustré chaque profil vegan comme un dieu. Car chaque personne vegan pense être le ou la meilleur.e vegan. Pour eux leur veganisme est le meilleur qu'il puisse être. Bien que j'exagère leur traits avec une certaine ironie, je vois bien qu'ils ne voient pas leurs contradictions. Et bien sûr nous sommes des êtres humains nous sommes tous contradictoires. Mais les personne vegan revendique souvent leur cohérence dans leur choix. Voilà pourquoi j'ai choisi d'établir 9 profils de vegans différents.
premières illustrations
Nora Hamzawi est chroniqueuse chez France Inter. Elle présente chaque semaine un texte qui raconte sa vie de parisienne trentenaire. Je m'inspire de ses texte pour raconter ma vie de vegan en devenir.
Toilette paper est un magazine ironiques qui reprend les codes des publicités américaines. On y retrouve souvent la viande. Etant donné que l'industrie de la viande a connu un essort après la deuxième guerre mondiale.
Ici on retrouve l'idée du hipster qui agace les gens.
Dans la pensée que le capitalisme s'empare de tout mouvement alternatif, j'ai pensée faire une marque vegan. Afin de montrer l'absurdité de la chose.
C'est à dire que j'ai créé des objets à l'usage des vegans (mais également de tous évidement), pour qu'il puissent se démarquer des omnivores.
J'ai commencé à m'intéressé aux contradictions qu'il y avait dans le mouvement vegan et surtout la déconnection qu'il y avait par rapport aux vraies valeurs du mouvement. Je veux dire par là, que comme tout mouvement le capitalisme s'empare du mouvement vegan pour en faire un produit. J'avais donc pensé créer une gamme de produits vegan exagéré, pour montrer à quel point il serait stupide que ce mouvement soit récupéré par le capitalisme. Je pense que le mouvement vegan s'inscrit dans un système ou anti système plus global que juste ne plus consommer de produit animaux. Le mouvement vegan et antispéciste se battent pour que l'animal ait une place dans la société. Il faut donc déconstruire tout le système actuel et repenser notre façon de consommer.
Exemple du ton que j'aime utilisé.
Début de réflexion, certains de mes amis se disent vegan en carton. Je commence à penser aux incohérences des vegan et le mouvement antispéciste.
"Les mouvements de modes expliquez aux parents" est une de mes principale inspiration, ce livre dresse des profils de personnage inscrit dans des mouvements ou modes. On peut retrouver le punk, le hippie, le minet etc. J'en ai été inspiré pour dresser les différents profils vegan. J'ai donc écrit 8 textes sur des "types" de vegan. J'ai ainsi créé le bobo vegan, le hippie vegan, vegan mystique, débutant, écolo, hipster, Zoophile et enfin le carniste vu par les vegans. J'ai donc dressé ces différents profils en voulant montrer leurs contradictions selon moi. Par exemple on peut voir le bobo vegan dans une supérette bio et local alors qu'il va acheter des cigarettes malboro (trés polluante et en lien avec une firme de pesticide).
Comme Loïc Prigent le fait dans son livre "J’adore la mode mais c’est tout ce que je déteste", je récolte des phrases plus ou moins absurdes entendue lors de discussion sur le veganisme. Je les ai classée en deux catégories, les phrases de carnistes ou celle de vegan. Ces phrases créées un dialogue de sourd, chacun pensant que ses arguments sont les plus défendable.
exemple d'ironie
Le ton que j’aimerais utiliser est similaire aux reportages « Personne ne bouge » et « Star Système » d’Arte.
Je me suis demandé comment je pourrais montrer l'absurdité du traitement des animaux. J'ai pensé à créé des documents de guerre qui montrerait un conflit entre les carnistes et les vegan. On monde où on placerait les animaux au centre sans leur donné de droit et sans les considérer. Ils seraient le principale sujet de discussion sans jamais être consulté.
V comme Vegan est un des livre avec le quel j'étais le plus en accord. Ce livre revendique l'idée d'un monde changeant où l'animal en même temps que le mouvement vegan prend de plus en plus de place dans la société. Loin de culpabiliser les gens, il veut principalement informé et montrer les améliorations et l'éttendue du mouvement.
Liste de sites visités lors de ma recherche à propos du veganisme.
J'ai lu plusieurs livres qui traitent de l'animal et de notre rapport à celui ci surtout dans le domaine des animaux d'élevage et le système industriel. J'ai relevé dans certains livres de grandes incohérences dans les propos que j'ai relevé celon les pages. J'ai ainsi dressé une série de "profils" de végétariens et vegans.
J'ai commencé par définir le type de projet graphique que je voulais faire. Ainsi que définir ce dont je voulais traiter pour éveiller le public au veganisme.
Les associations pur la libération animale, souvent sexiste et/ou violente. En particulier PETA qui base ses campagnes sur le corps nu. Ils comparent souvent le corps nu d'une femme à un animal.
J'ai commencé par rechercher des images dans les magazines, de marques qui se voulaient "eco conscious" ou proche des animaux.