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Durant ces derniers mois je me suis intéressée à l’hypersurveillance des villes, mais également à la surveillance dans le privé. Je me suis également interrogée sur les évolutions technologiques de l’information et leurs dispositifs : Qui les contrôle ? Sont-elles innocentes ? Quelles sont les menaces liberticides ? Toutes ces réflexions m'ont poussée à récolter une multitude de références qui m’ont permis de me positionner et d’ainsi proposer des objets graphiques.
La vidéosurveillance est un sujet très exploité dans l’art contemporain. Je ne cherche donc pas à faire du nouveau ou faire mieux, je veux y montrer ma propre réflexion en tant que future graphiste. Je voudrais à travers mes productions, faire ressentir ce sentiment d'oppression permanent et de contrôle social qui est presque invisible.
J’aimerais parler de l'excès de dispositifs de surveillance généralisés à Bruxelles et partout ailleurs. Je veux surtout montrer l’inutilité de l’hypersurveillance et l’oppression que celle-ci peut générer.
Proposer des dispositifs qui ouvrent à des questions plus qu’il n’y répond.
Marine Sanchez Gonzalez_ESA le 75