Sacralisation bee's
Sacraliser l'abeille car sans elles le monde ne serait plus pareil. Elles nous apportent des leçons de vies, nous avons beaucoup à apprendre d'elles. Voir les choses en grand afin de sensibiliser les gens sur leurs rôles indispensables à l'écosystème. Elles concernent toutes les religions, tout le monde entier. Nous avons tous a y gagner.
Fernand Léger ° 28.02.18

Technique de la dalle de verre, ces vitraux mis en valeur par une architecture épurée. Non croyant, l'artiste a su néanmoins retranscrire dans son travail le sens du sacré et de la spiritualité

James Turrell ° 28.02.18

Installations de lumière colorée qui semblent posséder de la masse et occuper de l'espace sous forme de plans, de cubes, de pyramides et de tunnels. La série "Skyspace" de Turrell (commencée dans les années 1970), qu'il a construite autour du monde, est un espace clos ouvert au ciel à travers une ouverture dans le toit qui permet aux spectateurs d'observer les changements de lumière de minute en minute et de saison en saison , ce qui a été décrit comme une expérience religieuse.

Paul Strand ° 28.02.18

Une photographie en noir et blanc représentant des ombres projetées à travers des balustrades à lattes sur ce qui semble être une table de jardin tournée sur le côté.

Barnett Newman ° 28.02.18

La puissance émotionnelle contenue dans certaines œuvres ne fait que davantage ressentir que d'autres en manquent. L'œuvre de Newman ne tient pas toujours ses promesses de sublime et d'universalité. L'artiste affirmait vouloir "créer une métaphore qui corresponde d'une certaine manière à ce que je pense est le sentiment et le sens contenu dans mes toiles". Mais ces émotions, apparemment si évidents pour l'artiste, ne le sont pas forcément pour le spectateur.

Olafur Eliasson ° 28.02.18

Le monde des installations à grand déploiement prenant d’assaut les espaces publics autant que les galeries et les musées, et interrogeant la relation que nous entretenons avec le monde et l’environnement. Par le biais d’œuvres épurées et immatérielles où sont étudiés corps, mouvement, perception de soi et de l’environnement, Olafur Eliasson place le spectateur au centre de ses créations. Plutôt que de recevoir l’œuvre, ce dernier se trouve à l’activer par sa présence et en devient l’acteur. De cette façon, plusieurs de ses installations dirigent notre attention non seulement sur ce qu’on voit, mais sur notre manière de regarder, et font en sorte, comme le dit l’artiste, qu’on « se voit en train de regarder ».

Tadao Anda ° 28.02.18

Church of light se compose de deux volumes distincts dont la simplicité et la nudité matérielle est enrichie par les effets lumineux crées. En effet, le décalage porté au plafond de cette église, permet d'apporter une richesse lumineuse à l'intérieur et une sensation de flottement du toit. L'effet donné par cette ouverture marque sans doute un symbolisme spirituel, mais surtout un charme et un dynamisme imposants.

Yayoi Kusama ° 28.02.18

L'exposition comprend six salles à miroirs Infinity: cinq que vous entrez et une où vous jetez un coup d'œil. Les salles sont conçues par l'artiste pour être des expériences immersives brèves et sont dans l'ordre chronologique - de 1965 à aujourd'hui. Chacun des environnements kaléidoscopiques de Kusama offre la possibilité de pénétrer dans une illusion d'espace infini. Les salles offrent également l'occasion d'examiner les thèmes centraux de l'artiste, tels que la célébration de la vie et de ses conséquences.

Denis Meyers ° 07.03.18

Le bâtiment Solvay à Bruxelles, des milliers de mètres carrés d’une architecture qui n’existera plus jamais dans notre paysage. Pour lui, pour Denis, ces mètres carrés sont autant d’espaces pour y laisser s’échapper ses tortures personnelles, ses fantômes, ses démons, ses désespoirs. Alors pendant des jours et des nuits, dans le froid, le noir, la solitude, cet homme a laissé son passé s’inscrire au travers des bombes noires, il n’a pas hésité à ouvrir la porte aux photographes désireux de témoigner de son oeuvre.

Gucci ° 07.03.18

On voit partout ses tenues végétale : une redéfinition du romantisme. La marque italienne s’est muée en ruche. Le designer voue une passion aux abeilles. Il y en partout. L’insecte en devient pratiquement une signature maison

Chiffre sacré ° 07.03.18

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